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Les Hérésies ou les Erreurs de pensée à ne pas comettre

« De la lumière divine je tiens l’épée ; aux  erreurs de l’ombre, je fais front. »

Selon la doctrine guénonienne, le Royaume de France, en tant qu’expression visible du principe monarchique sacré, se devait de réprouver les quatre erreurs majeures qui marquent la dégénérescence du monde moderne.
L’erreur philosophique, à travers l’atomisme et la croyance en la réincarnation, procède d’une méconnaissance radicale de la métaphysique traditionnelle, réduisant l’être à une somme de parties matérielles ou à un cycle illusoire d’âmes désincarnées, en rupture avec la conception chrétienne de l’unicité de l’âme et du salut.
L’erreur cartésienne, quant à elle, introduit une coupure artificielle entre l’âme et le corps, instaurant les fondements d’une rationalité profane qui nie l’intellect pur, source de toute connaissance véritable.
L’erreur spirite, sous les figures de Blavatsky, Steiner ou Kardec, constitue une parodie de l’ésotérisme, travestissant les sciences sacrées en un occultisme dévoyé, accessible à tous, sans transmission initiatique valide.
Enfin, l’erreur idéologique du XXe siècle, à travers le communisme et le fascisme, deux expressions complémentaires du même matérialisme politique, nie toute transcendance en absolutisant soit l’individu, soit l’État, en rupture totale avec la souveraineté spirituelle que la royauté française symbolisait.
Ainsi, le Royaume de France, fidèle au Centre suprême et dépositaire d’une autorité venue d’en haut, ne pouvait que s’opposer à ces déviations dissolvantes, en tant que gardien de l’ordre traditionnel.

 

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